Colonia Leather
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Merci pour cette critique de mon gros gros coup de coeur récent !
Comme Aryse, mon avis diffère assez radicalement de celui de Doudou, puisque c’est pour moi une réussite sur tous les plans. Je ne ressens pas ce "manque" de cuir, au contraire, c’est pour moi le cuir parfait, tel que je le cherchais depuis longtemps : pas du tout animal, pas du tout "brut", mais vraiment travaillé, tanné encore et encore. On est bien plus près d’un fauteuil en cuir que d’une écurie. Sensation encore accentuée par la force des agrumes qui vivifie le tout.
Par contre, autant je suis d’accord avec la comparaison avec Tuscan Leather pour l’ouverture (pendant 5 minutes, ce sont quasiment les mêmes), autant je trouve qu’ils évoluent radicalement différement : là où Tuscan Leather m’écoeure au plus haut point à cause de sa framboise écrasée (désolé, la framboise, je peux pas), autant la rose discrète qui vient poser le tout dans Colonia Leather me fait me renifler encore et encore.
J’aime beaucoup ce que fait Acqua di Parma en général, mais je trouve que sur ce coup-là, ils se sont surpassés !