Le sexe des parfums
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 5 heures
Bonjour à tous, Je rejoins le point de vue de jle - qui remonte déjà à plus de 14 ans ! Osmanthe(…)
il y a 18 heures
L’amour est un sentiment complexe. Tomber amoureux d’un parfum n’est pas si différent de tomber(…)
il y a 5 jours
Bonsoir Farnesiano. Tout d’abord, je trouve les parfums assez beaux, Hyde et Moon Bloom que(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Entièrement d’accord avec vous (toi ?) Calygo, à ceci près qu’à mon humble avis, le Beau Serge n’a jamais signé de "daube". Il y a dans son catalogue les coups de génie et les splendides audaces que nous connaissons tous, et puis des créations, disons, plutôt génériques, ou bien un peu "too much". Or ces vilaines petites cannettes me paraissent plus estimables que bien des produits strictement commerciaux quand bien même ils sont réussis.
Il y a chez chez Lutens une part d’orgueil quelquefois démesurée, mais aussi une opiniâtreté, un piétinement d’artiste qui s’entête à labourer un sillon rétif au seul motif que le public ne lui a pas donné raison la fois précédente. Conviction sincère d’un esthète, ou bien obsession boudeuse ? Peu importe. Au contraire d’autres univers proches du sien, attachants mais plus irréguliers (Annick Goutal...) ou infiniment plus prétentieux (ELO...) ou encore moins innovants (Parfums d’Empire...) le cosmos lutensien me paraît étonnament cohérent.
Pour finir sur une touche "sexuée", nous avons tous observé que le si ambigu Féminité du bois convient admirablement aux Messieurs, bien plus qu’aux dames, à mes narines...