Le sexe des parfums
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 13 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 13 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 13 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Entièrement d’accord avec vous (toi ?) Calygo, à ceci près qu’à mon humble avis, le Beau Serge n’a jamais signé de "daube". Il y a dans son catalogue les coups de génie et les splendides audaces que nous connaissons tous, et puis des créations, disons, plutôt génériques, ou bien un peu "too much". Or ces vilaines petites cannettes me paraissent plus estimables que bien des produits strictement commerciaux quand bien même ils sont réussis.
Il y a chez chez Lutens une part d’orgueil quelquefois démesurée, mais aussi une opiniâtreté, un piétinement d’artiste qui s’entête à labourer un sillon rétif au seul motif que le public ne lui a pas donné raison la fois précédente. Conviction sincère d’un esthète, ou bien obsession boudeuse ? Peu importe. Au contraire d’autres univers proches du sien, attachants mais plus irréguliers (Annick Goutal...) ou infiniment plus prétentieux (ELO...) ou encore moins innovants (Parfums d’Empire...) le cosmos lutensien me paraît étonnament cohérent.
Pour finir sur une touche "sexuée", nous avons tous observé que le si ambigu Féminité du bois convient admirablement aux Messieurs, bien plus qu’aux dames, à mes narines...