Après Le Labo, Estée Lauder met le grappin sur les Editions de Parfums Frédéric Malle !
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 2 jours
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 2 jours
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Solance, il y a hélas aussi des parfums super-chers en "mainstream niche" : je pense aux Hermessences, notamment, à 185 euros les 100 ml et sans distinction de contenu, alors que chez Malle, sans vouloir le défendre, il faut bien reconnaître que certains parfums sont plus chers que d’autres et que les deux que je préfère (Angéliques et Bigarade) sont moins chers que la moyenne (j’ai du bol ! ;-p)
De toutes manières, toutes les marques te diront en parlant de leurs lignes cheres : "oui, c’est cher, parce que ce sont des matières nobles"...
Et là, tu peux leur rétortquer d’un air narquois "Ah ouaiiiiiiiiiiiiis ? Et donc, si je suis votre raisonnement, ça veut dire que (selon la marque avec laquelle tu veux polémiquer) Terre/Egoïste/Jicky/l’Eau sauvage sont des daubes avec des matières pourries ?"
Oui, je sais, c’est pas bien, mais c’est plus fort que moi et j’aime pas être pris pour un... pigeon, dirons-nous pour rester poli -
Et en plus, c’est un discours qui manque cruellement d’originalité (tous les arguments pour justifier la création des lignes chères sont exactement les mêmes, quelle que soit la marque : c’en devient pitoyable et c’est à croire qu’elles ont suivi ensemble les mêmes formations pub/marketing...)