Choisir son parfum...
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 13 heures
Vous avez tout à fait raison : le fric.... J’ai bien vu le prix du vapo 20 ml et des recharges.(…)
il y a 14 heures
Bonjour poivre rose, Je regrette que quelques esprits se fussent trouvés froissés par(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Bonjour,
Félicitations pour votre site que j’ai grand plaisir à découvrir. En parcourant les différents messages, c’est amusant de constater les parcours de chacun. Qu’est-ce qui nous fait passer d’un parfum à un autre ? Est-ce qu’on appartient à une famille olfactive ? Ou tout cela est-il guidé par le hasard et l’irrationnel ? Pour ma part, je crois appartenir à la famille des Chanel - si ça existe. Le 19, bien sûr, qui m’accompagne depuis mes 17 ans. Vert, fleuri, tendre, poudré, subtil et tellement joyeux. Un parfum de bonheur et d’insouciance, que je trouve quelquefois rétro - ça m’agace, et ça m’émeut aussi. Le 19, en version eau de toilette, toujours. Autre permanent : Allure, qui brille et qui claque, à la fois solaire et un peu métallique. Un parfum pour les jours qui gagnent (ou qu’il faut gagner), paravent et armure. Un ami fidèle et loyal, de ceux qui ne virent ni ne s’égarent durant la journée. Autre ami Chanel, Cristalle, que j’ai mis très longtemps à aimer et qui a un jour déboulé en enlevant tous mes doutes. Et ce bouchon noir... Cristalle qui serait un Allure plus joyeux et exubérant, moins vert qu’un 19. J’adore aussi l’Eau de Cologne, légère, pétillante, dont l’équilibre entre fraîcheur et soleil est parfaitement dosé. Pour les jours à réchauffer, Coco, si sensuel et envoûtant. Et Sycomore, mon dernier amour, qui nous perd dans une fumée d’encens qu’on respire sur le poignet au fil de la journée. J’hésite à me lancer dans Beige, un peu trop classique peut-être... Par contre, je n’ai aucune affinité avec le 5, qui me fera toujours penser à la dame du dessous... Ca me désole, mais je ne comprends rien à ce parfum.
J’ai bien sûr fait de nombreuses infidélités à Chanel - Courrèges in blu, Ivoire de Balmain, Silences de Jacomo, Ô intense de Lancôme, Diva d’Ungaro et même L’Heure bleue et Après l’Ondée, de Guerlain, et Infusion d’Iris de Prada (dommage qu’il ne tienne pas !)
Alors, chère Jeanne, votre verdict ? Mes choix sont-ils guidés par la logique et l’amour d’une grande famille ? Ou définitivement livré aux occasions, aux fantaisies, coup de coeur et hasard ?