Ostara de Penhaligon’s, parfum d’optimisme printanier
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
il y a 2 jours
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
il y a 2 jours
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 3 jours
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
Alors là j’avoue que j’ai un doute : je pensais qu’on ne pouvait rien obtenir de la jonquille comme matière première exploitable en parfumerie, il s’avère qu’en fait si.. Mais ce serait comme pour le narcisse ? C’est le bulbe qu’on peut utiliser, avec une odeur riche foin/animal, très différente de l’odeur de la fleur ?
Penhaligon’s revendique l’odeur de la fleur, il me semble, donc du coup ce serait logique qu’elle n’apparaisse pas dans la compo et qu’elle soit reconstituée par d’autres éléments. Je vois assez bien l’idée de faire intervenir les "notes évoquant les feuilles" et la jacinthe pour l’avalanche de notes vertes qu’impose un bouquet de jonquille dans une pièce, les aldéhydes pour l’astringence typique de la jonquille, et le lot "narcisse/cire d’abeille/ylang ylang ylang/vanille" pour l’impression jaune et le côté animal/doucereux.