Dolce & Gabbana pour Homme
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
hier
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 4 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
J’ai finalement décidé de ressentir ce parfum, et sincèrement je ne crois pas avoir eu tort. Une fougère toute en finesse ! Avec ce petit côté propre et herbacé qui le rend terriblement rassurant. Je ressens beaucoup moins la note forte, de cannelle ou de musc, dont j’avais parlé, ce qui n’est pas pour me déplaire, mon subconscient a dû l’accentuer quand vous, Jeanne, avez fait le rapprochement avec Le Mâle.
Malgré sa tenue médiocre, du moins sur ma peau, ou selon mes narines (puisque les odeurs agréables nous paraissent plus douces), il s’agit d’un parfum extraodinairement bien réussi. L’archétype du parfum : il allie originalité, simplicité et harmonie, sans côté je-t’en-mets-plein-la-vue. Le flacon tout simple remplit sa tâche, il n’est pas là pour ajouter un aspect bling-bling afin d’aiguiller les consommateurs. Le parfum se suffit à lui-même, et compte uniquement sur ses qualités intrinsèques pour ravir nos narines.
Cependant Jeanne, rassurez-moi : tient-il bien sur votre peau ? Il me paraît anormal que sur la mienne, il disparaisse au bout de 2-3 heures.