Le Narcisse Noir
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Indeed.
Certes, beaucoup de choses n’ont pas d’intérêt dans ce que raconte L’Orpheline : dire (par exemple...) "je suis une wagnérienne" sans que le contexte s’y prête n’a pas de sens ; moi aussi j’adore Wagner (plus Tristan que Parsifal et son livret semi-soporifique cela dit...) mais mon horizon musical s’élargit à au moins une centaine d’autres compositeurs – seules quelques horreurs telles Michael Nymann ou Phil Glass – qui sont à la musique ce que La Vie est belle ou Jeux de Peau est à la parfumerie – m’indisposent. Et puis je n’aime pas que le classique et le contemporain... Ou encore ses focalisations obtuses sur Christine Angot (aucun intérêt) et j’en passe... Ces focalisations symptomatiques – engluées dans le noeud borroméen de L’Orpheline, sans qu’elles parviennent à s’en échapper pour objectiver le sinthome – sur des objets isolés à l’exclusion du reste, sont difficiles à entrevoir en ce qui me concerne.
Pour le reste, ce n’est pas spécifiquement moins intéressant que nombre d’interventions y compris les miennes bien entendu. Prenons par exemple les apports de Frédéric : ils ne servent à rien, généralement. Par ailleurs, Lacan disait que le symptôme, c’est la fuite du robinet. Et quand on ne parvient pas à le fermer, il n’y a pas d’autre solution que de laisser couler l’eau... Répondre en se montrant agacé(e) ne fait qu’encourager le nouage névrotique, sans le résoudre. Le mieux est donc de s’abstenir et de laisser couler.