Cuir Beluga
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 4 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Et c’est ce que j’aime dans "Cuir béluga".
Que chaque ingrédient apporte à la composition. Chaque ingrédient bien approvisionné, son supplément d’âme, pour une somme grisante de plaisir dès l’application. Et une composition cohérente, qui se tient de A à Z, avec un sillage impec.
Un effet "tout beau tout nouveau" avec toutes les qualités de la parfumerie classique (un max d’ingrédient naturel, utilisés à bon propos, sillage evolution (blablabla)).
Le Shalimar actuel EDT et EDP se défend très très bien, mais on sent le soucis de réglementation européenne, d’approvisionnement (ingrédient naturel + grosses ventes = problèmes), de marge distributeur, de lissage pour plaire à plus de monde avec les goûts actuels, avec pleins de prothèses pour juste arriver à pousser le refrain le plus catchy de la symphonie Shalimar. L’extrait sent la boucherie, parce que les réglementations européennes "décapitent" encore plus la composition à cause des ingrédients réglementés dans une formulation plus concentrée.