Van Cleef
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
il y a 3 heures
Bonjour, j’adore ce parfum, il me reste un fond de flacon que j’économise. Il devient(…)
il y a 19 heures
L’actuelle version EDP, testeur neuf en grand magasin, n’est franchement pas à négliger. Moins(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Désolé, une page blanche, translucide, s’est substituée à mon écran quand j’ai voulu prévisualiser mon commentaire qui dès lors a été aussitôt publié, non terminé.
Bonjour Bianca, Garance, Jicky et Opium. Intéressant ce questionnement sur le style d’un parfum lié à son époque et les clichés qu’elle véhicule. En achetant Van Cleef l’autre jour, je me demandais quel effet je produirais en société avec ce " joyau orangée " comme parure. Ce soir, je le testerai avec à la clé, je le crains, une volée de remarques ou de commentaires ironiques ou peu aimables : " Ah, tu sens encore la vieille dame, ou la cocotte ! Van Cleef à mes yeux ne sent ni l’une ni l’autre. Il affirme une présence, certes conquérante, mais librement séductrice, sans l’once d’une quelconque agressivité, et même le sourire aux lèvres. Je le trouve tellement jouissif !
En re-sentant hier soir devant mon placard un flacon de Montaigne, quaisment jamais évoqué sur AP (je voudrais d’ailleurs avoir ton avis, Newyorker, sur ce Caron paru au milieu des années 2000 et qui paraissait à l’époque déjà daté), j’ai ressenti le même bonheur olfactif devant ce parfum qui a de l’allure mais aussi une sournoise volupté, le bouquet floral de Montaigne étant bien entendu bien plus poudré et moins orientalisant. Quoique ce santal final...