Après Le Labo, Estée Lauder met le grappin sur les Editions de Parfums Frédéric Malle !
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Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Salut Jicky.
Bonjour encore aussi à Youggo, Irisfleur et L’orpheline.
Je suis tout à fait d’accord avec toi, et sur tous les points (je serai juste plus indulgent que toi avec Serge Lutens ^^).
Espérons que cela ne va pas devenir une énième marque de niche, comme il y en a tant, où on parle de parfumerie de qualité en surface, de manière superficielle dans un argumentaire de vente souvent mal maîtrisé, pour tenter d’épater la galerie en façade alors qu’on ne ressasse que les chiffres en "backstage".
Les Éditions de Parfums Frédéric Malle sont (étaient) les seules, avec Chanel, à pratiquer des formations sur l’olfactif qui sont qualifiantes et pédagogiques. Pour les autres, en général, ce n’est que de la révision de pyramides niaise déconnectée des réalités olfactives rabâchée en mode perroquet.
Qu’ils gardent, comme tu le dis très bien, le meilleur, la qualité, en s’améliorant sur les points d’amélioration, la relation.
#touchedel’œillet
Alors, et Frédéric Malle, la personne physique, restera-t-il investi dans les Éditions de Parfum à son nom, où, comme Jean Laporte en son temps, va-t-il profiter de cette grosse rentrée d’argent pour lancer un "Frédéric Malle 2.0" ? :-)
(Pure hypothèse de ma part.)
Espérons, quoi qu’il en soit, qu’on soit plutôt dans la configuration d’un rachat type Goutal que d’autres, dont certaines marques de niche qui justifient aujourd’hui de s’inspirer fortement ("copier") des modèles blockbusters de la parfumerie grand public car il faut des produits commerciaux ; d’accord, mais alors, on est bien d’accord que ce n’est plus de la niche, mais le chenil ou la SPA du parfum, un truc où on récupère les échoués perdus, pas une parfumerie "d’auteur"... *tousse tousse*
Merci pour ton commentaire.
Opium
Ps : Pour le reste des échanges, je n’y reviens pas, tout a été dit.