Après le Labo, Estée Lauder met le grapin sur les Editions de Parfums Frédéric Malle !
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 2 jours
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 2 jours
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Bonjour Jackmon.
C’est assez radical...
Pour avoir travaillé à côté d’un stand Frédéric Malle, je ne suis pas certain qu’un lilas, une tubéreuse verte végétale (alors que le vert est la facette de la parfumerie honnie par la plupart des clients), une cannelle, un mimosa animal, une menthe (trop associée pour beaucoup, dont même votre serviteur présentement, à l’univers de produits fonctionnels, dentifrice, chewing-gums et autres...), un chypre vert, une violette indescriptible à odeur de peau, etc, soient si commerciaux.
La conscience de la qualité de certaines de ses créations sans concessions aura sans doute rendu le discours de Frédéric Malle prétentieux, mais, il faut lui admettre que, dans la plupart des cas, les produits ne le détrompaient pas. Maintenant, ce n’est pas parce que l’on est le meilleur élève de sa classe qu’on doit être prétentieux au prétexte qu’on le peut, l’humilité va bien à tout le monde, même aux meilleurs... :-)
Bonne fin de journée.
Opium