New-York
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 2 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Amand, bon retour parmi nous.
Re-bonjour Aryse.
Pour vous répondre à tous deux, la version "Intense" ne trahit en rien l’esprit de New-York. Tout y est, simplement plus rond et baumé.
Patricia de Nicolaï m’a dit avoir dû un peu jongler avec les évolutions de la réglementation. Au début, peu de différences, une bergamote et des épices toujours aussi agréables et euphorisantes. Ensuite, le parfum gagne en densité. Un poil moins chypré, il se fait plus rond et baumé, un peu plus dense et épais, il gagne en crémeux selon moi. En fait, il se fait plus oriental, ce qui fond presque même mieux la note cuirée qui se fait plus discrète dans les baumes épais. Au final, on retrouve la distinction classique entre "eau de toilette" et "eau de parfum" comme on la connaît chez Chanel ou... Guerlain... La première étant souvent plus sèche et facettée, la seconde plus ronde et baumée.
Ceux qui apprécient New-York devraient apprécier (encore davantage presque... ^^) New-York Intense.
Bonne re-découverte à vous deux.
Opium