Ex Nihilo surgit de nulle part dans Paris
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Un siècle après l'Exposition internationale des arts décoratifs et industriels modernes, trois experts explorent son influence sur le parfum.
hier
De mon flacon original acheté fin 1988, au retour d’un voyage à Venise où je l’avais senti non loin(…)
il y a 2 jours
Bonjour Nez inexpert, Pour vous consoler, je ne saurais trop vous conseiller Vétiver Royal(…)
il y a 3 jours
J’ai enfin trouvé son remplaçant, Sauvage de Dior, qui n’a rien à voir au niveau fragrances, mais(…)
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bain de tendresse
Je réagis 1000 ans plus tard, mais ça me fait penser que j’ai déjà succombé à ce concept il y a quelques années (bon, c’était 75 euros, pas 300).
Il y avait un corner Stéphanie de Bruijn au Printemps, où on pouvait acheter des "bases" (j’ai pris Délice), et éventuellement y rajouter une note (j’ai choisi Musc) pour un parfum "sur mesure". Le parfum final était très agréable à défaut d’être original, et bon j’ai trouvé l’idée marrante. Et ce parfum a beaucoup beaucoup plu à ma mère, qui a vite vidé le flacon (tant mieux parce qu’avec moi il serait encore plein).
Ma maman semblant aimer autant ce parfum que son vénéré Ambre Sultan, je suis retournée quelques temps après au corner : la stratégie avait changé, ils ne vendaient plus que les bases toutes seules. Quand j’ai demandé si on pouvait refaire le mélange Délice + Musc "ah mais non vous rêvez ça n’a jamais existé !!!" bref... Je sentais le début de la fin.
Le corner a disparu peu après, je suis allée sur le site de la marque il y a quelques jours et les prix ont flambé !!!
Et je me suis dit que plus jamais je ne marcherais dans des concepts du genre.