Impressionnisme et mélancolie
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 8 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Les diverses critiques lues autour de Dzongkha, me renvoient à un parfum ethnique et animal, mais peut-être suis-je trop influencé par le marketing qui tourne autour de cette création, dont l’intensité et les é(in)vocations ne semblent pas avoir de limites. J’ai d’un prime abord du mal à imaginer que ce bout de Tibet mis en bouteille puisse correspondre à l’iconographie de ma recherche, mais il était de toute manière dans mes intentions de l’essayer, ne serait-ce que pour me shooter à une fragrance mystique qui renvoie visiblement aux origines d’une religion primitive.
Essence paraît beaucoup plus sage, j’apprécie cette analogie avec une brume blanche un peu violente. Orpheline sera le troisième Serge Lutens à essayer. Un créateur visiblement incontournable.