Dior Homme
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Il se trouve que j’ai une bouteille de Dior Homme 2013 (pas la version intense, fort heureusement). C’est pas trop mal dans le marché de masse, mieux que médiocre disons, mais je n’arrête pas de percevoir une arrière-odeur de "synthèse" qui me dérange de plus en plus...
J’ai testé Dior Homme Parfum hier. En termes de "production de masse" actuelle, et compte tenu de toutes les horreurs ici émises sur cette marque, sans doute à juste titre, je trouve cela plutôt pas mal en effet (comparativement à la sortie de l’Homme idéal, par exemple, c’est nettement plus réussi). Mais je pense que je m’en lasserais assez vite... Par ailleurs, c’est presque un pot de colle, puisqu’il tient 24 heures sur la peau et certainement davantage sur les vêtements (une différence majeure avec Dior Homme, qui a l’avantage de disparaître relativement vite, si j’ose dire).
Quoiqu’il en soit, Dior Homme Parfum n’a strictement rien à voir avec Musc Ravageur (qui n’a pas un départ iris-synthétique ni une évolution vers des notes de cuir). Et, à mon humble avis, il n’en prend aucunement le dessus non plus, on reste à quelques années lumières de distance... Donc vous avez fait le bon choix !