L’Homme Idéal
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 heures
Bonjour Adina j’ai un Miss Dior vintage flacon 210 ml flacon pied de poule j’aime énormément(…)
hier
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
hier
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Je ne sais pas vraiment ce qu’est "l’esprit Guerlain" – entre Pamplelune et Shalimar en passant par Songe d’un Bois d’été –, donc je ne pourrais pas dire si L’homme Idéal est dans cet esprit, à l’inverse de la collection "L’art et la Matière".
Cela dit, quitte à choisir et nonobstant les choses dites plus haut (i.e. indépendamment des questions de prix ou de tenue), entre Bois d’Arménie et l’Homme Idéal, je prendrais de suite le premier !
Vous-même avez écrit des choses plutôt positives sur ce parfum il me semble, d’où mes interrogations sur le fait que vous jugiez la collection désormais caricaturale : "Personnellement, je trouve Bois d’Arménie vraiment unique en son genre", ou encore : "Bois d’Arménie est un parfum brut (?). Dès les premières pulsations, il vibre par sa densité incroyable et rugit sur la peau. C’est un fauve concentré en résines, dont le benjoin que je repère très rapidement (il faut que surdosé comme il l’est, ce n’est pas si dur que cela). Après une tête caoutchouteuse, ce parfum s’allège et laisse à place à un sillage plus charnel. Je vois une goutte très dense en matières premières, très concentrée qui tombe très lentement d’un arbre. Une sorte de sève mystique, un condensé de roche, de flamme, mais aussi de légères gouttes et une touche de brise. Il est élémentaire de reconnaitre l’aspect brut du parfum, tout juste une densité nouvelle. Sur la peau, il évolue capricieusement : c’est bel et bien la nature et la matière qui décident."