Eau de Cartier
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Pendant les journées de la belle Parfumerie au Printemps, Mathilde Laurent avait, lors de sa conférence, exprimé qu’après être devenue parfumeuse chez Cartier, son désir était de rester fidèle à l’histoire de la maison.
Il lui semblait essentiel de s’imprégner de cet univers pour prolonger une certaine empreinte olfactive.
Sans, bien entendu, parler des flankers, je trouve que dans chaque parfum, les matières se répondent, toutes en nuances et subtilité. Une certaine justesse et cohérence avec toujours l’imperceptible touche qui fait la différence.
Mathilde Laurent met sa sensibilité au coeur de chaque projet, pourtant je suis frappée par son habileté et son désir de trouver une colonne vertébrale et, au fur et à mesure, y parvenir.
Quand je sens, DDUS, Baiser Volé ou encore la Panthère, je trouve qu’il y a vraiment une filiation avec Eau de Cartier, pourtant sorti en 2001 et crée par Christine Nagel, je me serais d’ailleurs lamentablement méprise sur son auteure.
Selon moi EDC, et tout les jus sortis ces dernières années, ont l’éclat d’un solitaire rutilant et merveilleusement taillé. Une forme d’élégance intemporelle qui, je crois, est la pierre angulaire de chaque projet chez Cartier, depuis qu’elle est devenue la parfumeuse maison.
Eau de Cartier mérite sa chronique, 3 étoiles pour ce bonheur en bouteille qui ne prend aucune ride depuis 13 ans.