Documentaire sur Arte : Le Parfum, une histoire des senteurs
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Héliodose se propose de connecter le monde végétal au règne animal par le biais de l’indole. Attention, ça décoiffe !
il y a 1 semaine
« 1000 » c’était du vrai haut de gamme ; l’antithèse de la vulgarité. On a perdu Jean Kerléo ou une(…)
Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Bonjour Opium...
C’est vrai que le mystère entretenu par les marques et la plupart des parfumeurs n’aide pas le public (qui fantasme vite) à imaginer autre chose que l’antique décorum du Parfum de Süskind. Autrement dit on lui sert la soupe qu’il attend, et ça tourne en rond de cliché en cliché, pendant que les choses, pourtant, évoluent.
Et comme vous dites, l’argent manque dès lors qu’une production s’aviserait de sortir du carré défini. Par ailleurs, l’olfaction n’intéresse encore que très peu de monde, finalement. La grande majorité des gens veulent qu’une EDT "sente bon", que le flacon soit joli, qu’il y ait si possible une star, un un joli mannequin sur les pubs. Voilà tout. Ça lui suffit largement pour rêver. Pour le reste, les arcanes, les rouages, les explications, c’est pas (encore) dans sa culture, ni son horizon immédiat, qui lui est surtout dominé par le visuel... (Tablons, allez : les yeux pour voir (images) : 60%, les oreilles pour écouter (sons, musique) : 39%, le nez pour sentir (parfums, fragrances) : 1% à peine...). Espérons que ces ratios évoluent un peu... Va falloir patienter. (Mais, pourquoi pas, organiser des lieux de partages réels, de rencontres autour des odeurs et des parfums, comme la bonne idée du "Nez Bavard", ci-dessus... )
Excellente soirée.