Vitriol d’œillet
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Le vintage est à la mode et de nombreuses maisons (plus ou moins) historiques ont relancé récemment des collections de parfums après de longues années d’absence ou de discrétion. Nous vous proposons un tour d’horizon de ces fragrances revenantes.
hier
J’avais senti par curiosité la version elixir de la Panthère, et lui avais trouvé quelque chose de(…)
hier
Selon moi, la version élixir de "La panthère" est la variation vanille et fleur de tiaré (monoï)(…)
il y a 2 jours
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
Bonbon solaire
Faits et zestes
Brut de gousse
Bonjour,
J’avais découvert rapidement vitriol d’oeillet via un échantillon, il y a quelques mois. Je l’avais alors trouvé "piquant" et peu agréable. Après une petite balade olfactive au milieu des "bois"és ( du très obscur Bois d’Ascèse à l’aérien narcisse bleu), et une petite escapade culinaire où j’ai découvert avec délice les baies du poivre de Voatsiperifery, je redécouvre de manière plus nuancée cet oeillet défiguré.
D’entrée de jeu le poivre vous anesthésie les narines, comme le feraient les baies citées plus haut mais pour les papilles. Dans les deux cas, nez et palais sont neutralisés. Notre oeillet prend alors la parole, là où côté poivre malgache, le piquant se fait bois. L’oeillet se pare d’epices côté SL, la baie croquée révèle alors ses arômes.
Dans les deux cas, l’un et l’autre vous conduisent en terre inconnue. L’uppercut du départ est ce me semble, salutaire, il permet de perdre ses repères et ses a priori.
Ce fut une belle rédécouverte. Je rejoins cependant nombre d’entre vous sur l’évolution de cet oeillet. Après un départ aussi fracassant, on s’attend à une plus grande aventure. Cet oeillet nous abandonne un tantinet au milieu de nul part sans vraiment nous donner le mot de la fin.
Ceci étant , votre billet Jicky est un pur bonheur. Bien à vous