Karl Lagerfeld : le retour... du parfum
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 9 heures
Encore une attaque gratuite de Blanche ! Décidément qu’elle est subversive cette fille ! Et en(…)
il y a 13 heures
Bonjour inexpert, En fait on était encore le 13 pour moi (décalage horaire oblige)... il était(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Hello, perfumistas de tous bords. Je viens de sentir les deux nouveaux jus de Karl Lagerfled. Bof, bof...
Le féminin que je n’ai pas appronfondi (senti sur touche seulement) ne m’a pas convaincu : floral-fruité léger tout à fait dans l’air du temps. Jolie composition mais sans intérêt. Finalement, ces parfums dits léger et souriants, à la longue me paraissent lourds, voire étouffants, pire : ils m’ennuient. Désolé, pas ma catégorie du tout.
Le masculin semblablement ne m’a guère emballé. Fougère aromatique, épicée, boisée : là encore, rien de neuf. Réussi, certes, pour son envolée du départ piquante, vive, dynamique, il évolue gentiment et de façon tout à fait traditionnelle vers un fond légèrement plus chaud mais d’une affligeante banalité. Suis-je trop exigent ? Givenchy Gentleman Only et tant d’autres sont passés par là. Du bon travail au service d’exigences commerciales, sans doute.
Flacons corrects mais présentoir noir et blanc très réussi (bonne idée que ce "jour" créé par la présence/absence des lunettes de Maître Karl.
Dans ma lancée, j’ai testé le nouveau masculin d’Armani. Après L’Eau de Nuit, voici l’Eau d’Arômes. Et ma foi, ce parfum discret, hespéridé-épicé-boisé, n’est pas si mal : à la fois confortable, tendre et ensoleillé, il dégage une impression d’élégance de bon ton quoique pas très originale. Mais je me suis laissé séduire par sa douce chaleur. Une Eau de Nuit qui serait revue et corrigée pour le jour ou plus exactement pour la fin charmante d’un jour en bord de Méditerranée. Par moments, une impression fugace d’Eau des merveilles qui serait délavée.