Karl Lagerfeld : le retour... du parfum
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 6 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 6 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 1 semaine
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Hello, perfumistas de tous bords. Je viens de sentir les deux nouveaux jus de Karl Lagerfled. Bof, bof...
Le féminin que je n’ai pas appronfondi (senti sur touche seulement) ne m’a pas convaincu : floral-fruité léger tout à fait dans l’air du temps. Jolie composition mais sans intérêt. Finalement, ces parfums dits léger et souriants, à la longue me paraissent lourds, voire étouffants, pire : ils m’ennuient. Désolé, pas ma catégorie du tout.
Le masculin semblablement ne m’a guère emballé. Fougère aromatique, épicée, boisée : là encore, rien de neuf. Réussi, certes, pour son envolée du départ piquante, vive, dynamique, il évolue gentiment et de façon tout à fait traditionnelle vers un fond légèrement plus chaud mais d’une affligeante banalité. Suis-je trop exigent ? Givenchy Gentleman Only et tant d’autres sont passés par là. Du bon travail au service d’exigences commerciales, sans doute.
Flacons corrects mais présentoir noir et blanc très réussi (bonne idée que ce "jour" créé par la présence/absence des lunettes de Maître Karl.
Dans ma lancée, j’ai testé le nouveau masculin d’Armani. Après L’Eau de Nuit, voici l’Eau d’Arômes. Et ma foi, ce parfum discret, hespéridé-épicé-boisé, n’est pas si mal : à la fois confortable, tendre et ensoleillé, il dégage une impression d’élégance de bon ton quoique pas très originale. Mais je me suis laissé séduire par sa douce chaleur. Une Eau de Nuit qui serait revue et corrigée pour le jour ou plus exactement pour la fin charmante d’un jour en bord de Méditerranée. Par moments, une impression fugace d’Eau des merveilles qui serait délavée.