Karl Lagerfeld : le retour... du parfum
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
il y a 18 heures
Bonjour Je recherche au sein de memori de Kenzo la fragrance qui se rapproche le plus de la(…)
il y a 3 jours
Bien jolie collection que ces Malaki de Chopard. Black Incense bien sûr, mais aussi Rose Malaki,(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
Hello, perfumistas de tous bords. Je viens de sentir les deux nouveaux jus de Karl Lagerfled. Bof, bof...
Le féminin que je n’ai pas appronfondi (senti sur touche seulement) ne m’a pas convaincu : floral-fruité léger tout à fait dans l’air du temps. Jolie composition mais sans intérêt. Finalement, ces parfums dits léger et souriants, à la longue me paraissent lourds, voire étouffants, pire : ils m’ennuient. Désolé, pas ma catégorie du tout.
Le masculin semblablement ne m’a guère emballé. Fougère aromatique, épicée, boisée : là encore, rien de neuf. Réussi, certes, pour son envolée du départ piquante, vive, dynamique, il évolue gentiment et de façon tout à fait traditionnelle vers un fond légèrement plus chaud mais d’une affligeante banalité. Suis-je trop exigent ? Givenchy Gentleman Only et tant d’autres sont passés par là. Du bon travail au service d’exigences commerciales, sans doute.
Flacons corrects mais présentoir noir et blanc très réussi (bonne idée que ce "jour" créé par la présence/absence des lunettes de Maître Karl.
Dans ma lancée, j’ai testé le nouveau masculin d’Armani. Après L’Eau de Nuit, voici l’Eau d’Arômes. Et ma foi, ce parfum discret, hespéridé-épicé-boisé, n’est pas si mal : à la fois confortable, tendre et ensoleillé, il dégage une impression d’élégance de bon ton quoique pas très originale. Mais je me suis laissé séduire par sa douce chaleur. Une Eau de Nuit qui serait revue et corrigée pour le jour ou plus exactement pour la fin charmante d’un jour en bord de Méditerranée. Par moments, une impression fugace d’Eau des merveilles qui serait délavée.