La Fille de Berlin
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Bonsoir thelittlebox,
Que votre plume est belle ! Pourquoi avoir tant hésité à vous lancer ?
Vous n’osiez pas critiquer le mage aux épices, c’est cela ? Rassurez-vous, cette rose de Berlin ne m’enchante guère. La rose est malheureusement déclinée de nombreuses et triviales façons. Seule jolie facette, cette note métallique rappelant le sang. Quand je dis jolie, je veux dire, travaillée de façon intéressante. Cette note surprend et dérange. Pourquoi associer la rose et le sang ? Lutens est un conteur de talent, il remplace les mots par des molécules. Pour autant, les contes peuvent enchanter, angoisser ou prêter à sourire. Ils laissent rarement de marbre.
Je désespère aussi de trouver "la rose" au détour d’un flacon. Peut-etre préférons nous le jasmin des milles et une nuit à la rose de la bête et de sa belle. Laissez-vous conter "à la nuit" , du même auteur, aux éditions "jasmin enchanté"