Serge Noire
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
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Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Bonsoir Lucasdries !
Je crois que Serge Noire est l’illustration de la diversité de nos "sentis et ressentis", de nos différences de peau aussi !
Mais je maintiens (et j’en avais déjà parlé ici), que Serge Noire m’évoque plus un cheminement dans une crypte sombre, avec parfois, là-haut, au gré des nuages et du soleil, la lumière des vitraux.
De bois, point. Ou alors, pas celui des scieries, mais celui des prie-dieu.
Bon, les romantiques disaient des forêts qu’elles étaient des cathédrales...
Serge Noire serait-il romantique ? Si oui, c’est celui des châteaux abandonnés de Ann Radcliffe, gothiques, forcément gothiques...
Bref, j’aime Serge Noire, vêtu de ce tissu très austère, dans la lumière tremblante d’un cierge noir.