2014, année parfumée ?
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
hier
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je pense que l’on attribue un parfum à un sexe selon son vécu. Par exemple, mon père a longtemps porté Vetiver de Guerlain./ Et bien je ne peux pas porter de Vetiver. J’adore cette note, mais je trouve cela "masculin". C’est l’image que j’en ai.
Sinon, je connaissais un jeune homme, insupportable, tape à l’œil, sans style ou qui voulait s’en donner un. Le genre "petit mec" qui se la joue et qui s’inondait du Mal de JP Gaultier. Et bien dès que je sens ce parfum, une aversion totale m’envahit.
Tout cela pour dire qu’au delà des limites Homme-Femme, je pense que le parfum nous renvoie consciemment ou non à un vécu, une sensation. Voilà peut être pourquoi vous n’aimez pas les parfums d’hommes sucrés.
Je suis une femme qui adore Shalimar et pourtant j’ai offert Habit Rouge à mon mari pour lui piquer !
Je pense que c’est parce qu’ils ont vraiment une "trame" commune et que c’est ce que je cherche dans les parfums que je porte.
A Bientôt !