Le parfum comme oeuvre de l’esprit ? Pas pour 2014 !
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 4 minutes
Bonjour poivre rose, Je regrette que quelques esprits se fussent trouvés froissés par(…)
il y a 2 jours
Vapos... Grrr... Sur le fond, entièrement d’accord avec vous. C’était nettement plus responsable.(…)
il y a 2 jours
Bonjour Arpège, Je me permets d’embrayer sur le budget... Nous qui avons connu le 20e siècle...(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Bonsoir,
Je vais peut-être jeter un pavé dans la mare, mais je suis assez d’accord avec le jugement de la cour de cassation. Il est difficile, pour ne pas dire impossible de parler de plagiat sur un simple critère olfactif. Lorsque dans une foire - comme nous le constatons souvent - on nous vend du parfum en clamant clairement "voilà du Angel", "là c’est du Opium"...."je vous fais le lot de 5 pour 50 € alors qu’on parfumerie c’est 500 €", avec des noms et des flacons plus qu’équivoques, là on peut parler de contrefaçon. Mais lorsque le flacon n’a rien à voir, le nom itou, que seule la fragrance se rapproche de l’original, est-il juridiquement et OBJECTIVEMENT possible de parler de plagiat ? Si oui, et bien vous pouvez définitivement fermer une des parfumeries les plus célèbres de Grasse (dont je tairai le nom), et virer pas mal de flacons de chez Séphora and co. D’ailleurs, relisez tout les commentaires sur ce site : combien de fois peut-on lire "ce nouveau parfum évoque tel ou tel parfum ?". Alors, plagiat, pas plagiat ?
Et pour aller plus loin : qu’en serait-il alors du goût ?