Le parfum comme oeuvre de l’esprit ? Pas pour 2014 !
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Un coin de verdure où chante une lumière... Une création très émouvante, composée par la discrète mais talentueuse parfumeuse indépendante Christèle Jacquemin.
il y a 5 heures
Ces fameux boisés ambrés tant décriés aujourd’hui ont pourtant connu de bien belles heures au cours(…)
hier
Bonjour à tous, Voilà quelques jours que je me délecte de ce Miss Dior, flacon vintage sur(…)
Volutes cultes
Grand huit
Des airs de famille
Bonsoir,
Je vais peut-être jeter un pavé dans la mare, mais je suis assez d’accord avec le jugement de la cour de cassation. Il est difficile, pour ne pas dire impossible de parler de plagiat sur un simple critère olfactif. Lorsque dans une foire - comme nous le constatons souvent - on nous vend du parfum en clamant clairement "voilà du Angel", "là c’est du Opium"...."je vous fais le lot de 5 pour 50 € alors qu’on parfumerie c’est 500 €", avec des noms et des flacons plus qu’équivoques, là on peut parler de contrefaçon. Mais lorsque le flacon n’a rien à voir, le nom itou, que seule la fragrance se rapproche de l’original, est-il juridiquement et OBJECTIVEMENT possible de parler de plagiat ? Si oui, et bien vous pouvez définitivement fermer une des parfumeries les plus célèbres de Grasse (dont je tairai le nom), et virer pas mal de flacons de chez Séphora and co. D’ailleurs, relisez tout les commentaires sur ce site : combien de fois peut-on lire "ce nouveau parfum évoque tel ou tel parfum ?". Alors, plagiat, pas plagiat ?
Et pour aller plus loin : qu’en serait-il alors du goût ?