Trésor
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Compositrice de fragrances indépendante et rédactrice pour Nez, la créatrice nous explique comment le parfumeur se joue de notre odorat avec sa palette.
hier
Bonjour Dioressence ? Je ne sais pas si on peut le qualifier de sec mais une fine brume de(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Arpège, je ne peux que vous conseiller de succomber à l’EDT For Her que je préfère à l’ EDP !
C’est le déclic de mes 15 ans, la première fragrance qui a suscité l’envie d’en découvrir d’avantages sur la parfumerie. Je l’ai porté non-stop à 17 ans et c’est à ce jour le seul flacon que j’ai terminé. Pendant longtemps j’ai cherché un dupe de celui-ci, en vain. Il aura d’ailleurs fallu sentir Serge Noire pour que d’autres perspectives s’ouvrent.
Même si il s’agit de Tresor sur ce post, je ne pouvais rater une telle aparté. J’aurai voulu qu’il me soit encore confidentiel mais cette édition moderne du musc égyptien mérite son succès. J’hésite à le racheter car les récents projets de normes européennes, absurdes, me poussent à craindre pour son identité qui a été la mienne auparavant.
Quant à Trésor, j’avoue ne pas avoir su le comprendre. A vous lire, il semble si beau pourtant, en le sentant, j’ai eu l’impression de rester sur ma faim. Peut-être que ses notes ne me correspondent pas et c’est bien là mon problème : quand je ne me reconnais ou que je ne suis pas piquée au vif, je tourne vite le dos.
Emeline