Serge Lutens sur France Inter
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
il y a 2 heures
Oh pour que Guerlain revienne en arrière il faudrait que quelqu’un d’autre qu’LVMH soit aux(…)
il y a 19 heures
Vous avez tout à fait raison : le fric.... J’ai bien vu le prix du vapo 20 ml et des recharges.(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Pour prendre part à ce débat : je me retrouve personnellement davantage dans le discours de Jean-Claude Ellena que celui de Serge Lutens, c’est une question d’affinités !
Quand à la véritable définition du métier de parfumeur, elle reste pour moi celle du “technicien”, comme Lutens l’appelle, c’est à dire celui qui sait manier les molécules avec exactitude afin de créer le bon accord, le bon assemblage, en tenant compte des paramètres chimiques et olfactifs des composés, et ce métier ne s’improvise pas, il demande des années d’apprentissage, et en prime, un esprit créatif. Serge Lutens a un très bel esprit créatif, mais il n’est pas technicien. Je pense que Christopher Sheldrake, pour se voir proposer un poste de Directeur Artistique chez Chanel, a du faire faire preuve d’un minimum de vision créative.
Par ailleurs, le message apparaissant sur le site Perdepierre m’a également été communiqué. Il est "gênant" de parler de M. Sheldrake depuis qu’il est chez Chanel. Pourtant, tout le monde est au courant, et cela n’empêche personne de travailler.
Par ailleurs, vous aurez mon avis sur Nuit de Cellophane demain, si j’arrive mettre l’image au bon format ! (je ne suis pas une "technicienne" du net...)