Serge Lutens sur France Inter
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 jours
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 4 jours
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 6 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
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Petitgrain devient grand
Pour prendre part à ce débat : je me retrouve personnellement davantage dans le discours de Jean-Claude Ellena que celui de Serge Lutens, c’est une question d’affinités !
Quand à la véritable définition du métier de parfumeur, elle reste pour moi celle du “technicien”, comme Lutens l’appelle, c’est à dire celui qui sait manier les molécules avec exactitude afin de créer le bon accord, le bon assemblage, en tenant compte des paramètres chimiques et olfactifs des composés, et ce métier ne s’improvise pas, il demande des années d’apprentissage, et en prime, un esprit créatif. Serge Lutens a un très bel esprit créatif, mais il n’est pas technicien. Je pense que Christopher Sheldrake, pour se voir proposer un poste de Directeur Artistique chez Chanel, a du faire faire preuve d’un minimum de vision créative.
Par ailleurs, le message apparaissant sur le site Perdepierre m’a également été communiqué. Il est "gênant" de parler de M. Sheldrake depuis qu’il est chez Chanel. Pourtant, tout le monde est au courant, et cela n’empêche personne de travailler.
Par ailleurs, vous aurez mon avis sur Nuit de Cellophane demain, si j’arrive mettre l’image au bon format ! (je ne suis pas une "technicienne" du net...)