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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 12 heures
Bien joli parfum que celui-ci mais comme pour Nez inexpert qui le décrit très bien, cette(…)
il y a 16 heures
Elle n’a pas l’air d’émouvoir les foules, cette Hermessence. Trois ans après le lancement, me voici(…)
il y a 3 jours
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Je le trouve pas forcément dans l’esprit des anciens aldéhydés, qui me semblent trop froid et trop brillants là où UFDC est mate et chaleureuse. J’aime assez la description de la marque comme un parfum typique des années 30 : il conjugue le traitement floral abstrait de Vol de Nuit et la densité mate d’un Shocking par exemple.
Meme si le rendu est tout à fait contemporain ! C’est d’ailleurs une des grandes forces de ce parfum, rejouer les codes des années 30 mais en lui mettant une paire de lunettes moderne, Bizarrement, UFDC est considéré comme assez difficile d’accès ; c’est pourtant un des parfums qui m’a valu le plus de commentaires directs sur mon parfum (en même temps, Ropion a cette capacité assez extraordinaire à donner une projection pharaonesque à ses créations ^^)