Acheter un parfum...
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 5 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Dominique Ropion rend hommage à la tubéreuse, et plus particulièrement à son absolu, dans Carnal Flower. Dans Une Fleur de Cassie, il rend hommage cette fois-ci à l’absolu de mimosa. Pas tout à fait de la même façon, plutôt en le mettant au centre d’une composition complexe, rétro, et beaucoup moins accessible que la tubéreuse ravageuse.
Je dirais la Cassie un peu plus intello. Plus difficile à saisir. Déjà, l’absolu pur avec ses facettes de foin, d’étalage de boucher, de carcasse en train de faisander avant d’être découpée... il faut dire qu’on aurait du mal à l’imaginer en élément central d’une fragrance ! Et dans Une Fleur de Cassie, Dominique Ropion lui a donné des airs d’ancien aldéhydé. A exacerbé quelques notes amandées, presque lactées-coco. Tout est très dense, poudré, légèrement anisé, soyeux... c’est un parfum très texturé. Il me fascine assez.
Parfois, je le déteste, le trouvant trop massif, monobloc... puis j’y reviens avec des étoiles dans les yeux.