Mitsouko
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Ah oui, soleil et chaleur relative, pas de canicule. Du vent fort. Un parfum dans la journée est donc du gaspillage. Il faut attendre le soir. Exemple : ai porté l’Eau du soir hier soir en fin d’AM et en soirée pour la fête de mon école (Paella et Eau du soir, je confirme, ne vont pas ensemble ahaha...) aucun compliment à 18h, 19h, 20h (commençais à desespèrer moi...) et puis c’est venue à la fin de la soirée : Ah mais que vous sentez bon ! Soit c’est l’effet nocturne et baisse des températures, soit cette mère d’élève voulait me draguer. On va dire que c’est la première solution, hein ?
Quant au patchouli, je ne sais pas si je l’ai dit, j’ai vraiment un peu de mal. Je commence à en apprècier l’odeur, mais je ne la trouve pas particulièrement raffinée et portable pour faire court. Trop âpre, terreux, connoté baba cool. C’est le reproche en général que l’on fait au patchouli. Par contre, quand il est bien accompagné ou soutient une composition c’est autre chose. De toute façon, tout n’est qu’une question d’ouverture de nez et d’esprit, d’habitude. Donc, je progresse et j’entrouvre avec confiance mes chakras aux vapeurs patchoulinesques.
Bonne journée dijonnaise.
Très cordialement
ERic