Cinnabar
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 1 heure
En revanche, j’étais un peu étonnée que Madagascar, le Baume vanille n’ait pas sa propre critique à(…)
il y a 1 heure
Ah, certains de mes parfums étaient des coups de coeur immédiats : le regretté Traversée du(…)
il y a 2 heures
Bonjour Garance, je n’ai pas encore senti le Madagascar, mais ce que vous en dites sur le doute(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Je profite de te répondre pour préciser que mon article est essentiellement fondé sur des recoupements et déductions faits à partir des publicités US et de la lecture de plusieurs sites/blogs (dont cet article qui soulève des points intéressants : http://ismellthereforeiam.blogspot.fr/2013/04/youth-dew-gets-face-lift.html). Je ne prétends absolument pas détenir la vérité sur la genèse de Cinnabar, j’ai juste voulu l’aborder en tentant de rétablir une possible chronologie des événements ayant pu conduire à et pouvant justifier la création de ce qui reste un peu comme un jumeau (plus ou moins) caché de Youth-Dew.
J’aime beaucoup ta vision des parfums de la marque : oui, la femme Lauder a une apparence policée, mais son sillage (à toute épreuve !) révèle une redoutable séductrice qui n’est pas du genre à se laisser marcher sur les pieds !
La femme Cinnabar a en effet pour moi quelque chose d’un peu exotique, voire un peu louche ou dangereux. Elle m’évoquerait presque le personnage de Mlle Rose du Cluedo lorsqu’elle était représentée sous les traits d’une Asiatique mystérieuse ! ^^