Parfum de Peau
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Un iris majestueux qui se démarque par sa fraîcheur florale et printanière.
il y a 7 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 7 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 7 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Lavande délavée
Église en flammes
Fraîcheur souterraine
Bonsoir Dau.
Merci beaucoup pour ton intervention.
Il est vrai que les années 80 ont été les années des « hurleurs »… Et, Parfum de Peau, lui, était et reste, malgré le « cycle de lavage en machine », un sacré gueulard. Un peu au même titre que Knowing, effectivement, mais aussi Diva, une autre diva/princesse/femme d’affaires en tailleur graphique à épaulettes dont la discrétion et la subtilité ne sont pas vraiment les atouts majeurs les plus apparents… ^^
Mais, outre la puissance de ce parfum, habitude assez familière de son époque de création, en dehors également d’une certaine animalité qui était, elle aussi, fréquente à ce moment-là, Parfum de Peau se distinguait par encore autre chose… Sa puissance animale indomptée justement, qui assumait pleinement son absence totale de finesse ou de raffinement. Tout en restant, entendons-nous bien, un parfum parfaitement exécuté.
Il m’arrivait de me dire que Parfum de Peau « puait », sentait « mauvais », tout en sentant paradoxalement « bon » car sentant autre chose que ce que je connaissais…
Je n’ai retrouvé cette sensation qu’avec l’Absolue pour le Soir de Francis Kurkdjian et avec Alamut de Lorenzo Villoresi, autres roses encrassées par baumes, miel et bien plus encore qui balancent une bonne douzaine de claques "in ze tronche"…
Un rêve pour certain(e)s, un cauchemar pour d’autres. ^^
Ton évocation de la comparaison entre l’insupportation, la pénibilité que l’on pouvait ressentir dans les années 80 face à ces « criards braillards » et celle qui semble être infligée par les bombes à calories glucosées à certain(e)s est tout à fait juste.
Aurais-je été insupporté, un peu plus âgé, par la vitupérance pas vraiment raffinée des parfums qui « cognaient » comme je peux l’être aujourd’hui par les caramels mous, durs, secs ou crémeux actuels ? Un truc me dit que non, car, eux, étaient quand même un poil plus complexes, voire carrément bien plus ! ;-)
Bref.
Bonne soirée.
Opium