Coco
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Newyorker.
Merci pour cette très belle évocation de Coco.
S’agissant d’un "parfum de (ma) maman", je suis dans l’incapacité d’en faire l’analyse.
Bienvenue au "Club des fans de Coco en EdP" !
Tu le décris parfaitement bien. C’est enroulé sur lui-même, pas trop lumineux ni fusant que je l’aime celui-ci. Je trouve que la lumière de l’EdT lui ôte un peu de son chatoiement intérieur. #paradoxe L’obscurité lui va mieux dans mon esprit et sied mieux à son vrai baroque à lui. Même si cette obscurité est celle d’un parfum maîtrisé comme tu le précises si bien. On ne crée pas des parfums chez Chanel comme chez Guerlain par exemple, effectivement.
Quant à ton interrogation, il me semble que tu fournis toi-même l’explication. Humain et artiste ne font parfois pas bon ménage. L’Histoire a tendance à bien souvent les dissocier et à effectuer un certain tri. On ne retient aujourd’hui presque que le positif de la forte personnalité de Gabrielle Chanel, préférant oublier ses traits les plus sombres.
Encore merci. A bientôt.
Profite bien de Coco, quelle que soit sa concentration et les températures extérieures. ;)
Opium
Ps : Tiens, je sais avec quoi je vais dormir moi cette nuit...
Nb : Et, encore des étoiles car il est bien vrai qu’il mérite d’être constellé ce superbe parfum !