Déclaration d’un Soir
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La maison Violet nous a habitués à des lancements de qualité, et celui-ci ne fait pas défaut.
il y a 2 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Moskoe.
Merci pour votre réponse.
Les flankers précédents étaient davantage dans la lignée du précédent, vous avez tout à fait raison. Votre nez ne vous trompe pas. Le nez trompe souvent peu, sauf, exceptions.
Celui-ci, n’aurait, il est vrai, pas du être un flanker lors de sa création. Il n’a pas été travaillé en tant que tel par le parfumeur d’après mes sources.
Pour moi, s’il y a cohésion, c’est davantage par un état d’esprit. J’ai l’impression de regarder deux visages dont les couleurs des cheveux et des yeux ne sont pas les mêmes, qui, pourtant, partagent des similitudes ; un menton, un front, des pommettes. Mais, c’est mon propre ressenti, je comprends qu’on ne le partage pas forcément.
Pour ce qu’il en est des ventes et de l’acte de découverte d’une nouveauté, flacon différent ou identique, avec nom copié-collé ou pas, ce qui fera la différence, c’est, d’abord, la communication. Si Chanel place ses produits si bien, c’est que c’est une marque qui ne laisse pas de réelle place aux autres pour la concurrencer. Coco Mademoiselle, avec un nom à rallonge tiré de Coco et quelques modifications de son flacon, n’a pas eu de mal à s’imposer comme l’outsider brillant de la marque, loin devant son aînée Coco, tant et si bien qu’il est l’une des meilleures ventes mondiales.
Une règle, simple, nette et précise : Le budget et la logique de communication. Un parfum est acheté, pour/par la plupart, s’il est vu sur des affiches, à la télé, sur internet, dans les magazines et journaux.
J’apprécie tant ce parfum, que j’espère, comme vous, que Cartier a développé au mieux son budget communication parfum pour son nouveau bébé tant il mérite d’avoir du succès...
La qualité est là, maintenant, il faut le faire savoir...
La tendance "à la rallonge" de noms est une habitude, c’est, même, aujourd’hui, la majorité des lancements en mainstream, donc, on pourrait dire que c’est la norme. L’exception est devenue la norme. J’en suis au stade où, tant que ce qu’il y a dans le flacon est cohérent avec le reste et de qualité, je suis satisfait. Coco Noir aurait probablement moins de mal à satisfaire, si la communication avait été autre et s’il s’était intitulé Coco Sensuelle, Coco Madame, Lady Coco Mad’, Coco Or... (qui aurait été plus vrai au final que ce "Noir", mais, aurait fait un peu vulgaire, pas assez classy, et/ou trop axé Moyen-Orient et Russie).
Merci encore pour votre commentaire.
A bientôt
Opium
PS : Ne vous excusez pas. Il n’y a pas de redondance dans vos propos.
Il y a eu beaucoup d’échanges en une semaine. Tant mieux ! ;-))
Mais, cela devient fort long à lire. ^^