Parfum sucré, oui mais....
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
il y a 2 jours
Comme vous l’avez admirablement décrit ! Il a été depuis supprimé du catalogue. J’ai trouvé un(…)
il y a 4 jours
Quelle chance ! J’ai retrouvé une ancienne vendeuse du défunt Barneys New York au corner Guerlain(…)
il y a 5 jours
Dans les années 60, Câline de Jean Patou fût le premier parfum réservé aux jeunes filles. En avance(…)
Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Bonsoir Opium,
Oui mignon, c’est tout à fait ça ! Pas très sérieux, rigolo, un peu gonflé... comme une gourmandise ! Il se présentait comme ce qu’il était, en marge de grands frères plus précieux (et pourtant il avait un petit fond chypré loin d’être insipide...). C’est peut-être là qu’est la grande supercherie de l’époque actuelle : pas tant dans le goût hégémonique des client(e)s pour les sucreries (après tout, why not ?) que dans la présentation désormais haut-de-gamme que les marques essaient d’en faire alors qu’il s’agit bien, au départ, de fantaisies... Bref ! De mémoire, l’eau de parfum Deci-Delà (que ma soeur a porté quelques années quand on était ados) avait un punch et une "saveur" réellement appétissants :)