Seville à l’aube
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 12 heures
Bonjour à toutes et tous, Je craignais une reformulation, mais fort heureusement, non. Si elle(…)
il y a 1 mois
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonsoir Troudujol.
Je suis très content de lire que SALA a le succès escompté en boutiques, et même au delà. Nous aurions été quelques-uns à parier dessus.
Mon oreillette ici, très bien informée par l’un des rédacteurs réguliers et passionnants de ce site, me dit qu’il se serait écoulé plus des deux tiers du stock de L’Artisan Parfumeur prévu lors de la première production.
Tant mieux ! L’entrée de Séville à l’Aube dans la collection permanente de L’Artisan me semble légitime. Et même plus que cela ! ;-)
Je me demande si la stratégie de la sortie d’une édition annoncée comme "limitée" n’est pas une stratégie de communication à moindres risques. En cas de succès mitigé : On arrête la production, ce qui était prévu dès le départ. En cas de plein succès : On annonce la poursuite de la production, ce qui permet de donner le sentiment d’un succès au delà des attentes escomptées.
Lors de la présentation, on nous avait déjà laissé entendre que, du fait des premiers retours et des premiers tests avec testeurs en boutiques sans flacons à la vente, un succès important était anticipé...
Il a lieu : Tant mieux ! ;-)
La parenté avec d’autres "Bertrand Duchaufour" est flagrante. Et j’irais jusqu’à écrire, comme d’autres l’ont fait avant moi ici, que le lien de parenté avec Nuit de Tubéreuse est si flagrant qu’il s’apparente à celui de deux sœurs parfois aux caractères opposés, mais, qui, sur le fond, ont eu la même éducation mais en ont fait chacune ce qu’elles ont souhaitée. En ressentant les deux en face à face, cela m’a semblé flagrant.
De même, l’aspect baumé me fait beaucoup penser à Chypre Palatin qui, bien que sorti récemment, semble dater de plus longtemps. Pourtant, j’y vois bien un lien de parenté. Mais, plutôt de l’ordre du cousinage...
Sur ces considérations techniques, j’ajouterai que je suis très content, encore une fois, que "la qualité des matières premières" et "l’orchestration magistrale" de Séville à l’Aube est séduit encore une personne de plus. ;-)
A bientôt Troudujol.
Opium