La vie est belle
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
hier
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
il y a 2 jours
Bonjour à vous, Je reviens sur cet article, 13 ans après mon message où je faisais part de ma(…)
il y a 2 jours
J’ai une place tout au chaud dans mon cœur pour Œillet Bengale. C’est le parfum qui m’a fait(…)
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Eh bien, tu as sans doute raison, Jicky, jugeons les gens du bon côté, comme le disent les Maximes des Pères. Ce que je comprends, d’après ce que tu dis, c’est que ces trois parfumeurs, même arrivés au niveau qui est le leur, sont tenus d’exécuter ce que leur firme leur impose. Si c’est cela, ils ne sont pas libres, comme le serait un artiste indépendant, de dire : "Je ne prends pas." Je ne sais pas si cet état de fait est spécifique à la parfumerie, mais si c’est le cas, voilà qui relativise la notion de 8ème art, ou tout au moins, à leur égard, celle d’artiste du 8ème art, malgré leur immense talent. Car l’artiste, par définition, n’est jamais totalement assujetti au commanditaire (imaginerait-on Zao Wou Ki ajouter des petites Mickeys à l’une de ses toiles, parce que le client, ou le patron, a dit ?) Face à la logique commerciale, qu’il ne s’agit pas de nier, l’artiste a une esthétique personnelle à défendre, une vision de son oeuvre.