Les parfums de la honte
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Rencontre avec le parfumeur et fondateur de la marque L’Entropiste, lors du lancement du dix-neuvième numéro de Nez, la revue olfactive.
Bain de tendresse
Mimosa bleu
Eau archangélique
Comment ça tu penses que ça peut faire bouger les choses ? Au sens inciter les grandes marques à être plus originales ? Mais à quoi bon si c’est pour être copiées sans vergogne au moindre succès ? Ou au sens inciter les grandes marques à baisser leur marge ? Ou au sens inciter à renforcer la protection intellectuelle ou artistique du parfum ?
Ce qui me choque, dans ce site, c’est que ce sont quand même les marques qui prennent les risques des lancements, qui investissent (même si au final elles investissent surtout en marketing pour produire de la merde), et que derrière ce site ne prend aucun risque : il copie uniquement ce qui marche, s’appuie sur le nom de la marque puisque eux-mêmes sont inconnus, et casse les prix... Ils ne proposent rien d’original, mais se contentent de brader ce qui marche déjà, y compris ce qui est qualitativement discutable.
Si encore ils vulgarisaient des parfums de niche, élégants mais financièrement inaccessibles au plus grand monde, je pourrais presque les trouver aimables, mais là...