Du parfum... à écouter
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À travers cette quatrième création, Isabelle Larignon imagine un personnage en quête de liberté, cherchant l’exode à la faveur d’une longue soirée d’été.
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Nuit blanche
Volutes et voluptés
On dirait le Sud
Oh oui, Iris Radio, j’adore !
Je suis un peu rude dans ma critique, mais que veux-tu, c’est sans doute une déformation professionnelle. Durant mes longues années de radio, mon souci était de "donner à entendre". Bien sûr qu’on ne peut pas être spécialiste de tout, ni l’animateur ni l’auditeur. Mais on doit se mettre en position de découverte, de rapprochement avec l’invité, presque de communion, arriver à établir une communication qui entre un peu dans son intimité, soulever un coin du voile, lui donner l’occasion d’exprimer sa personnalité, d’élaborer une pensée spontanée, d’être surpris du dialogue, de devoir être parfois créatif. De le mettre en valeur, en un mot comme en cent.
Le pire, c’est d’interrompre les invités, ce qui n’a pas manqué. Je pense aussi que c’était un bien grand luxe d’inviter ces deux parfumeurs à la fois. S’il s’était agi de les faire débattre, cela se serait justifié, et il aurait d’ailleurs fallu un peu plus de monde, mais si c’est juste pour répondre à des questions générales et un peu distraites, c’est prendre une Rolls pour aller acheter une baguette de pain.
Mais comme tu dis, il y a aussi un aspect positif à ce genre d’émission, démocratiser le sujet, et c’est sans doute le principal.
Vive l’odorat !(TM)