Alien
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Julien Rasquinet fait le choix d’une interprétation tellurique pour donner corps (et odeur) à un numéro riche en symboles.
il y a 4 semaines
Je ne sais pas si un message sur un post aussi vieux sera lu mais il me reste toujours du jus(…)
Des airs de famille
Bain d’épices
Petitgrain devient grand
Bonjour Jean-David.
Merci pour tes mots, que je t’adresse à mon tour... ;-)
La discontinuation de beautés du passé est toujours un crève-coeur. Avec la disparition des Balenciaga et Patou, de certains Guerlain, c’est tout une belle frange de l’histoire de la parfumerie "à la française" qui s’évanouit peu à peu. Et, surtout, de très beaux parfums que, la plupart d’entre-nous ne seront pas amenés à connaître. Bref. Là n’est pas le propos.
Nombre de parfums Nez à Nez m’ont semblé souvent un brin confus, voulant parfois raconter trop de choses. Surtout dans les premiers sortis ; comme si, dans l’élan créatif, l’auteur avait mis un poil trop d’ingrédients dans le chaudron alchimique. Mais, ici aussi, au moins, il y a de la passion !
Ambre à Sade m’a semblé posséder une note de fraise qui, si elle parvient l’exploit de sembler naturelle et ne pas rappeler trop l’arôme chimique de bonbons industriels, elle m’a semblé un peu blette, malgré tout, je crois. Mais, ce n’est là que mon souvenir... Et, la mémoire peut parfois jouer des tours. Je suis probablement aussi intransigeant avec la fraise que je le suis avec la note de melon en parfumerie : Pour moi, ça passe (peu) ou ça casse (souvent)...
Merci pour ta proposition. J’irai, quand j’en aurai l’occasion, jeter un nouveau "coup de pif" sur cette invitation à une "accolade chaleureuse"... Comme tu le dis, le jeu de mots est, pour le coup ici, fort bien trouvé !
Bon week-end.
Opium