Les parfums de la honte
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C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
il y a 6 heures
Quelle belle description ! Je viens justement de tester ce parfum et je retrouve exactement ces(…)
hier
Bonsoir je n’ai pas suivi cette saga Nolenca, découvrant sur le tard ce petit bijou. Lasse des(…)
hier
C’est du génie à ce niveau. Chanel sort un parfum dont vous êtes fan de l’odeur. Mais c’est une(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
Mado, mais laissez tranquilles ces pauvres colonnes... Plus sérieusement, si je prolonge votre réfléxion fort intelligente entre ces pauvres colonnes et la parfumerie, je me montrerai encore plus sévère (avec Buren, pas avec Angel). Prenons le centre Georges Pompidou. On aime ou on déteste, difficile de ne pas transiger. Je dirais pareil pour la Pyramide du Louvres (dans les deux cas personnellement j’adore). Je suis un passionné d’art contemporain, et c’est une des réflexions que je me fais souvent devant une oeuvre moderne : on aime ou on déteste. Pour les colonnes de Buren, non : elles m’indiffèrent. Je ne les trouve ni belles ni laides. Elles ne m’intéressent pas. Je ne ressens rien devant cette oeuvre. Et c’est pire. Je pense qu’Angel est en cela une réussite "contemporaine" : c’est un parfum sans compromis. On aime ou on déteste. Il laisse difficilement indifférent. N’est-ce pas cela aussi un parfum réussi ?