Pourquoi se parfume-t-on ?
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La fondatrice de Sabé Masson et le fondateur de The Different Company reviennent sur les défis rencontrés par les maisons de parfum indépendantes.
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il y a 20 heures
P.S. : Diptyque fait bien plus joli, avec du métal doré. Et ces créations (accessoires de bougie(…)
Eau écarlate
Nuit blanche
Volutes et voluptés
Je suis pas sûr mais je crois que ce qu’il voulait dire dans une partie de son message, s’il fallait résumer, c’est : les roses ou les fleurs d’orangers sentent naturellement très bon, et logiquement ça a attiré l’attention des chercheurs pour en extraire le parfum. Mais.... l’iris au naturel n’a pas d’odeur, et pourtant on a quand même pensé à essayer d’extraire de ses racines ce qui s’avère être le parfum qu’on lui connait aujourd’hui. Partant de là, qu’est ce qui empêche d’autres plantes qui n’ont, semble t-il, aucun parfum émanant de leurs fleurs, de pouvoir offrir quelque chose ?... Si personne n’avait pensé à jouer avec un bulbe d’iris on aurait vécu sans (je vous laisse quelques secondes pour vous remettre de vos esprits après avoir eu cette idée en tête :p.....).
Bref, est-ce qu’on a tout essayé ? Est-ce qu’une plante sur laquelle on ne s’est jamais vraiment penché pourrait encore nous surprendre et nous offir une huile essentielle qui se révèlerait être aussi énorme que la rose, la tubéreuse, le vetiver ou l’iris en parfumerie ? Est-ce qu’on est arrivé au bout de ce que la nature peut nous offrir, est-ce qu’il faut désormais exclusivement chercher du côté du synthétique pour avoir du nouveau (ou comme l’a bien expliqué Jicky, revoir les basiques avec de nouvelles méthodes d’extraction... Voir en modifiant légèrement la technique de conception du parfum, comme dans le dernier Chloé qui remplace en partie par de l’eau de rose l’eau habituellement nécessaire pour stabiliser la formule).