Balades parfumées à Paris (2) - Du Palais Royal à la Concorde
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Hello,
Si j’ai évoqué les pins des Landes, c’est parce que j’ai connu le gemmage et cette odeur si chère aux poètes et aux parfumeurs... La région est belle, l’océan sollicite nos sens et des émotions très puissantes. Je ne sais pas si vous avez connu la Lagune sur cette plage qui porte aujourd’hui son nom, tout enfant je m’y suis baignée un peu effrayée par cette eau rouille et son aspect insolite, elle était bien coupée de l’océan. Et puis c’est vrai l’empreinte de Mauriac, même si elle beaucoup plus vers chez moi géographiquement, s’étend vraiment au delà.
Pour revenir aux parfums, oui ça peut se faire bien sûr, avec plaisir même à condition de tous s’accorder sur une période et un jour.
A suivre toujours... Et ce jour, euh non je n’aurais pas dû j’ai senti " Louve " et " Nuit de Cellophane ", hier c’était " Bas de Soie " il me semble, bref ce qui est merveilleux mais risqué lol avec les parfums... C’est qu’on ne s’arrête jamais !