L’Instant pour Homme
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Une légende dit que le bois d’oud arriva au Japon porté par les eaux, et fut sorti du sable et du sel par des pêcheurs.
il y a 17 heures
Voilà un parfum qui ne sent pas du tout le parfum, c’est plutôt une odeur en bouteille, très(…)
il y a 2 jours
Bonsoir Il est encore disponible chez My Origines. Entre autres sites, mais je connais(…)
il y a 2 jours
Bonsoir, hélas non, je n’ai pas l’occasion d’aller à Paris, j’ai regardé sur le site du Printemps(…)
Accord intercontinental
Lavis en rose
L’encens sans l’église
Passés les hespéridés les plus volatils, ma première impression spontanée est "bouillon gras aux épices douces que l’on sert dans les restaurants maghrebins pour arroser la graine de couscous", gloups !!! J’en conviens, une évocation iconoclaste aussi peu noble que poétique. Peut-être les notes les moins volatiles d’hespéridés et de surtout de badiane qui se confrontent à l’arrivée du sental et du poivre ? J’y ai perçu, à tort ou pas, un effet d’épices douces orientales (paprika doux, safran...) sur fond gras. Et comme les psychologues l’enseignent , il est difficile de se débarasser de la forme spontanément perçue d’une impression sensorielle. (Enseignement confirmé par d’autres tentatives avec ce parfum) :-(
A ce niveau, c’est ce que l’on appelle une rencontre ratée avec un parfum, ça arrive ! Pas de Coca bien frais, de noisettes pralinées, ou de chocolats Sarments du Médoc pour moi ; mais un couscous au restaurant marocain du coin. J’aime bien le couscous, mais de là à le porter en parfum...hum !