Stéphane Humbert Lucas : « Je ne suis pas né à Grasse dans une rose »
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 4 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Atelier d’Artiste n’a rien de bien séduisant.
Ambre à Sade me met l’eau à la bouche à chaque fois que je le sens (véridique ! mes papilles se mettent en action à chaque fois !) mais fais encore plus que cheap, il fait "petit parfum qui sent la fraise" que l’on pourrait trouver dans les magasins pour pou-pouffes au milieu des bracelets, colliers et ceintures à trois balles. A part une très belle fraise que j’admire, il est selon moi importable et n’a absolument rien non plus à part cette accord fraise.
L’Hêtre Rêvé : plus cheap et stéréotype du "parfum de mâle viril qui sent fort très fort" tu meurs.
Vanithé, encore celui là peut passer, il n’est pas bien méchant !
Forêt de Beccharée, on s’est tout de même demandé une fois avec une amie s’il n’y avait pas de l’eau dans le flacon plutôt que du parfum. Puis quand on arrive à sentir le "truc", c’est synthétique à fond, et sans aucune âme.
Je pourrais en faire plein comme ça ! ^^