Ma Ville, mes parfums
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
hier
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
hier
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
hier
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
En fait je déteste "Senteurs d’ailleurs", le temple bon chic bon genre du parfum de niche à Bruxelles. Les vendeuses sont hautaines, il n’y a pas moyen d’avoir un avis personnel, une discussion éclairée sur les parfums, tout est beau et parfait au pays des parfums de niche. Ils ont une attitude ultra commerciale qui m’horripile. Vendre des parfums ou des patates, pour eux c’est la même chose. Je ne sens pas de passion, pire pas de curiosité. Ils ont juste un discours bien rodé qu’ils débitent comme des robots et distilent l’air de rien des petits commentaires fielleux sur la concurrence. Ils sont malheureusement incontournables si on veut s’offrir un Piguet, un Malle, un different Company, un Creed...
Je m’interroge aussi sur le développement de leur gamme. Bon soit, Joe Malone... mais Ormond Jane (ça sent pratiquement pas et c’est très banal) !!! Il n’y en a plus que pour la parfumerie Anglaise. Beurk, quelle déception. Il existe de très jolies choses en Italie, ça bouge là-bas et puis il y a de petites marques françaises qui gagnent à être connues. Finalement j’aime beaucoup Absolutely dans la galerie Louise, la responsable est tellement charmante et pas commerciale du tout. J’ai d’agréables conversations avec les "filles" chez Kronen aussi et puis Anne-Pascale de l’Antichambre est un amour.