Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 4/4
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Interrogeant les mondes visuels et olfactifs, deux expertes échangent en écho au dossier publié dans le dix-huitième numéro de Nez, la revue olfactive.
il y a 14 heures
Toute une époque que ce VC Pour Homme ! Cuir suave d’une complexité envoûtante. Un grand masculin(…)
il y a 14 heures
Bonsoir Adhara, Merci de nous avoir communiqué cette bonne nouvelle. En fan de ce mythique(…)
il y a 14 heures
Profitez-en il y a une promo sur leur site web en ce moment sur plusieurs références(…)
Jardin impressionniste
Lavande délavée
Église en flammes
Je suis arrivé ici par hasard et j’ai lu d’un trait cet article autour des parfums disparus.
J’ai utilisé Le Feu d’Issey (même si ce nétait pas un parfum masculin) jusqu’a sa disparition. J’ai vu s’évanouir Oblique (avec ce Play aux senteurs des parcs d’attractions et le sucre des barbes à papa), un Rykiel Homme assez ambigu et le particulier Yohji Man. Les mérveilleux Gloria de Cacharel et Mémoire d’Homme (à mon avis éclipsé à cause de sa similitude avec M7 d’YSL) ont été détruis. Just Me de Montana et Messe de Minuit d’Etro ne sont plus en Espagne. Kenzo Jungle pour Homme et Black de Bulgari doivent être achetés par commande même dans les parfumeries les plus anciennes de Barcelona.
Ça fait peur d’aimer Arabie de Lutens, Dzongkha ou Héritage si on voit que tout ce qu’on aime disparaît.
Néanmoins, des parfums banals et clonés sont lancés chaque année. Au même temps, les réeditions estivales et les plagiats peuplent les magasins pour des gens qui veulent sentir le savon des toilettes poste à essence (si c’est D&G qui signe le flacon).
Voilà la catastrophe.