Les dessous cachés de la parfumerie (2/2)
Signaler un abus
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
Vous devez être connecté pour signaler un abus.
C’est un accord fusant et lumineux entre deux matières pourtant souterraines – le gingembre et le vétiver – qui vient compléter cette année la gamme des infusions de Prada.
il y a 8 heures
Plus de treize ans après la disparition de Mona Di Orio, c’est au tour de la maison de parfums(…)
il y a 11 heures
Moi aussi suis inquiet, de plus pas de commentaire sur un parfum que tout le monde peut sentir(…)
il y a 16 heures
Je suis un peu inquiet, le dernier article d’auparfum date du 30 septembre. Est-ce que tout va(…)
À fond la gomme
Ombres ligneuses
Prendre racine
Jeanne, pour répondre au dernier paragraphe, il me semble aussi qu’il faudrait reconnaitre les vraies créations "stylées" quand il y en a car il y en a : quand je vois les commentaires sur Miss Dior Chérie, Nina, Insolence, ce n’est pas gagné. Quant aux risques pris, YSL avec M7 et Nu est un bon exemple d’un parti pris olfactif... raté, alors que L’Homme et Elle sont des non partis pris réussis. Il y a donc les esthètes et les consommateurs. Pour la survie d’une marque, d’après vous, quel camp doivent ils choisir ? Pour les grandes marques, c’est sans doute un compromis entre les 2. Ce qui est moins compréhensif, c’est effectivement le manque de prise de risque sur les "petites" marques qui auraient tout a gagner à se trouver un style ; Chloé, Bvlgari et Lalique montrent que c’est possible et cela redonnerait un peu de coeur à l’ouvrage aux créateurs de parfums.