Maurice Roucel : « La création est un partage »
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Amande complète
Fleur de bonne humeur
Déesse dans le boudoir
Je rebondis une dernière fois, en faisant la conclusion suivante. (la mienne en tout cas)
Il y a le pragmatique pur et dur : le consommateur de base. Point, osef.
Puis il y a l’entredeux, celui qui recherche son parfum, avec attention et tout, mais qui ne saura jamais qui est Ellena. C’est l’amateur.
Puis il y a le perfumista.
Mais en gros, ma reflexcion carrément agacée (faut dire ce qui est, j’étais une p*te, je m’en excuse, mais bon, sans ça y’aurait jamais eu de débat ^^), portait sur une chose, la critique.
Je pense que lorsqu’on critique, il faut savoir utiliser un des mots qui, en sonorité, fait parti de mes préférés : la subtilité !
C’est à nous de mettre une casquette !
Je m’explique. Un joueur de baseball, il a sa casquette de chien, de batteur, de mec qui protège. Bref. Le perfumista, dans ses avis, doit mettre ses casquettes : casquette de l’amateur d’art, du consommateur, de l’être humain qu’il est, casqueette de Proust etc.
Et ce sont ces casquettes qui marquent la subtilité. Plutôt que de tout catégoriser, il faut doser. Exemple : casquette du consommateur : pas assez de tenue, donc Ellena est à chier.
Pour moi il faut d’abord utiliser la casquette de Proust, qui souvent et inefficace (sont rares nos parfums-madeleine). Puis après notre casquette humaine : est-ce que ce parfum me parle à moi. On réflechit, on passe à l’autre casquette, la plus superflue selon moi, celle du consommateur : tenue, rapport qualité/prix, etc.
Et enfin on passe à la plus importante des casquettes ! La casquette de l’amateur d’art ! Quelle était la démarche créative, comment le parfumeur a agit ? Plein de questions infinies sur le parfum, l’art, et ses correspondances en musique et tout.
En conclusion, sachez utiliser vos casquettes !