Coco
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Entre retour en enfance et évocation solaire, MarieJeanne rend un bel hommage à la bergamote. Souvent cantonné aux notes de tête, l’agrume occupe ici le centre d’une composition à la fois simple et surprenante.
il y a 2 heures
Dans les années 80, les parfums avaient du coffre. Ils sentaient le cuir, la mousse, l’audace.(…)
il y a 2 heures
Shalimar L’Essence, véritable chef-d’œuvre de l’escroquerie olfactive. Un parfum qui ose s’appeler «(…)
il y a 2 jours
Bonjour, Dans les années 70/80, tout le monde fumait et nos amis américains nous ont influencé.(…)
Faits et zestes
Brut de gousse
Sillage anthracite
Au départ Coco m’a semblé difficile à cerner, un peu lunatique : tantôt je sentais ceci, tantôt je devinais cela... Et ça ne me donnait pas une impression de confusion, de flou, mais de richesse, d’opulence, tel l’appartement bonbonnière d’une femme fantasque, aventurière cultivée et accumulatrice de mille souvenirs, breloques et autres bibelots précieux, les meubles toujours décorés d’un bouquet, d’un compotier plein de fruits, et hop un chat qui passe ! Les étagères surchargées de livres, les murs couverts de photos, de tableaux... Une femme à la fois loufoque et sage (dans le sens "éclairé" du terme !), tantôt languide, très occupée à siroter un verre en enfumant l’espace de tabac et de rêveries, tantôt très avide de le dévorer, cet espace, allant par monts et par vaux, en train ou à cheval, et toujours, quoi qu’il arrive, d’une créativité infatigable.
L’eau de parfum a tenu plus d’une douzaine d’heure sur moi, un délice ! J’ai trouvé sa compagnie stimulante, inspirante... Il faudra que je le réessaye et il se pourrait bien que je l’adopte, en dépit du prix !