Parfums disparus : flop olfactif ou flop marketing ? 3/4
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Parce qu’à l’approche de l’hiver, les sillages se font volontiers plus ambrés, plus ronds, plus chaleureux, nous vous proposons cette nouvelle revue de sorties, consacrée à une matière que l’on croyait trop rebattue pour encore surprendre.
il y a 3 jours
La vanille... quel pari risqué, sans compter le summum de l’originalité ! (Rires).
Brut de gousse
Sillage anthracite
Intime conviction
Ah... KL !!!
C’est le parfum de ma mère depuis plus de 20 ans (elle portait auparavant Aromatics Elixir, mais quand mon père lui a "emprunté", elle n’a plus voulu le remettre) et le problème, c’est en effet qu’il est difficilement trouvable.
Mon beau-père refuse que ma mère change de parfum, parce qu’il est "elle" et, comme il dit "qu’il a cette odeur de graisse qu’on met dans les douilles quand on fabrique les balles" (si, si, je vous jure !) et cela a été toute une histoire pour le retrouver.
Au départ, j’étais tombée par hasard sur l’Eau de Dyptique, qui lui ressemble comme deux gouttes... d’eau, mais je sentais bien que ma mère regrettait aussi son flacon, avec le bouchon gris en forme d’éventail. Finalement, merci Internet, car j’ai finalement trouvé sa trace sur un site anglais. C’est un moyen fantastique pour retrouver de vieilles amours mais cela ne permet pas, hélas, de "tester" les grands noms d’hier... à moins de les connaitre. Et quand je vois tout ce qui sort chaque saison, je me dis qu’on pourrait faire l’économie de 80% de ces lancements et ressortir quelques belles pièces d’antan.